A travers des visions « dystopiques », l'exposition révèle les ravages potentiels d'une réalité alternative, incitant à une réflexion sur les implications profondes de la dépendance de l’Homme à la technologie. Elle offre un voyage temporel vers un "trop tard" inéluctable, déployant artistiquement des conséquences irréversibles dans le tissu social. Dans cette exploration saisissante, l'art devient le reflet de choix incontournables et des ombres étirées sur notre avenir. L'intelligence artificielle oscille entre une extension raffinée du génie créatif et un tourbillon disruptif, tissant un dialogue poétique entre l'homme et la machine dans un ballet provocateur. Notons que Andy Dominique Rak, directeur artistique et Motion designer de renom, originaire de Madagascar, fusionne art et design dans des récits « dystopiques » et des paysages futuristes. Guidé par une passion précoce pour le Motion Design, il apporte une attention minutieuse aux détails, à la composition et à la nuance. Actuellement basé à Londres, il contribue à des projets internationaux pour des marques, des films, des séries télévisées, des jeux vidéo et des événements interactifs, notamment avec Universal Music Records et Xbox / Microsoft, le plaçant parmi les artistes les plus demandés. Inspiré par des œuvres comme "Blade Runner" et "Neuromancer", il repousse les limites, cherchant des moments de beauté inattendus. Sa palette mêle couleurs vibrantes et teintes sombres, créant une immersion totale. Andy, brouillant les frontières entre art et design, s'engage à explorer de nouvelles formes d'expression visuelle. Si jamais vous passez du côté de l’Avenue de l’Indépendance à Analakely dans les prochains jours à venir, il ne vous reste plus qu’à aller faire un tour du côté de l’Institut Français de Madagascar pour vous faire votre propre avis. De plus l’accès à l’exposition est gratuit et reste disponible jusqu’au 24 février.
Si.R